→ Elle a un tatouage sur l'épaule qui représente un N, prénom de sa mère.
→ Souvent à l'école elle n'avait pas une grande réputation à cause de sa timidité ou de son agressivité.
→ Sa boisson alcoolisé préféré est la vodka que parfois elle adore prendre dans une bouteille d'eau.
→ Elle n'a jamais réellement aimé le chewing gum de toutes sortes.
→ Quand ces parents ne sont pas à la maison, elle adore écouter de la musique rock à fond dans la maison.
→ Pour elle la mode est quelque chose de réellement important.
→ Quand elle était petite elle avait terriblement peur des clowns et encore aujourd'hui ce n'est son symbole du rire préféré.
→ Elle dort encore avec une peluche, car c'est la dernière que sa mère lui a acheter.
→ Le parfum qu'elle aime et porte toujours est live de Jennifer Lopez
→ Lorsqu'elle chante sous la douche, ce n'est pas là qu'elle fait ces meilleures performances.

C'est ici même, que nous apprendrons tout sur l'histoire de votre personnage. Que ce soit sous forme d'anecdote, de récit, d'étape de sa vie, vous devez le faire tout de même en 30 lignes. Cela peut paraître assez long, mais si vous décrivez assez bien toute l'histoire, vous ne devriez pas avoir de problème. Sachant que la majorité des personnages auront en moyenne 20 ans, cela fait 20 ans d'histoire à raconter, alors à côté de cela, ce n'est pas beaucoup non :)

Moi. Mais qui suis-je réellement ? Une fille ou un garçon ? Une comédienne de drame ou d'humour ? En réalité je suis peacefully♥, un masque derrière lequel je me cache, et si je l'enlève je ne suis que Claudie, une simple fille du canada âgé de seize pige. Sinon, j'adore le forum, le design et les couleurs sont splendide. Je suis arrivé ici grâce à bazzart et sérieusement je suis très heureuse. Les images de ma présentation sont toutes de tumblr mais je ne pourrais vous précisez de qui. Je suis pas sinon le genre de fille à m'étendre sur un sujet longtemps donc je préfère pas trop en dire et vous laissez en savoir tout au long de mon cheminement sur le forum. Juste vous dire que je suis assez difficile sur le choix d'avatar. Mais sinon je suis vraiment adorable hein.

Une vie débute d'une façon comme un autre, que ce soit spécifique ou non. La formation scientifique d'un enfant est la rencontre de deux gamètes, comme de deux amants qui ont le coup de foudre et décide de se fusionner pour ne former qu'un. Cette chose qui en résulte est appelé un zygote qui tranquillement devient un embryon. Dans tous les cas possibles, c'est une jeune femme qui verra son ventre grossir par le fait magique que ces deux gamètes ont produits. Dans ce cas-ci, il s'agit de Nickey, une jeune scientifique passionnée par la vie comme par le ciel ou le soleil. Tout ce qui arrive dans la vie avait une signification très particulière pour elle, et difficile à trouver furent les gens qui osaient la contredire. Ce qui se passait en elle, tous l'avaient vu venir en l'espérant. Un enfant, un phénomène naturel de l'accouplement. Un sourire se porta tranquillement sur les lèvres de cette belle brune au toucher de ce ventre si rond, si beau. Même si elle était encore une jeune maman, le sexe de son enfant lui importait peu car elle savait offrir son amour à quiconque. L'amour d'une mère est de ce qu'il y a de plus fort dans ce monde, une force surnaturel même. Le jeune homme qui avait servit d'offrande afin de compléter cet accouplement de gamète était tant qu'à lui un jeune comptable et photographe à ces heures. Il ne fut donc pas rare de voir certaine photo de leur jeune couple sur les murs encore blancs de leur petit nid. Marcus était un père aimant, un peu stricte cependant avec des traits assez foncé mais un amour incontestable pour sa jeune femme. Tous deux allaient bientôt devenir de vrai parents. Cette journée arriva en pleins mois de novembre froid. Les autorité conseillait de ne pas sortir, mais les deux jeunes amoureux se regardaient troublé. Quelques minutes de plus et la jeune femme tombait au sol tellement la douleur lui envahissait et la perturbait. Doucement le presque nouveau père de famille appela un ambulance qui arriva rapidement. Il se fichait de devoir payer quelques frais supplémentaire, tant que sa femme allait bien mais aussi qu'elle mettait au monde ce petit être merveilleux. Dire que l'accouchement fût facile, serait mentir. La souffrance emplissait les murs de la salle. La mère était dans un état cruel et personne ne put réellement penser à ce moment qu'elle fût auparavant si douce. Une jeune fille, voilà ce que le bon dieu lui donna. Heureusement pour la petite famille, tout allait plutôt bien. Au contact de la mère avec sa fille, le coup de foudre se fit. Si douce et si magnifique. C'était là la chose la plus précieuse que la famille put avoir dans toute leur vie. « Elle est magnifique.. Regarde. » dit alors la jeune Nickey présentant ce petit bout de personne à son père. Un sourire et des larmes de joies envahirent alors Marcus. Leur famille commençait à peine. Plus vite le temps passait plus vite cette jeune fille que j'étais montrait des signes d'intelligence. Oui ce jeune bébé tout droit sortit du ventre de sa mère était en réalité moi. Si je me souviens bien de ce que mes parents m'ont compter, je fus une jeune enfant sans véritable problème. Je ne pense pas que vous dire le premier mot que j'ai - qui était maman au passage - serait très intéressant. Je tiens seulement à précisez deux ou trois choses. Ma mère avait une vrai fierté pour sa fille et chaque chose que j’accomplissais elle tenait à le faire remarquer de tous. C'était elle qui me rassurait et son présage pour moi signifiait tout de merveilleux. Je me rappelle une conversation que j'avais eu avec elle lorsque j'avais perdu mon premier animal de compagnie, mon poisson rouge florence. « Tu veux qu'on parle ma puce ? » Elle poussa doucement ma porte me regardant sur mon lit serrant une couverture et pleurant à chaude larme. J'avais énormément de peine et je sais qu'elle pouvait le ressentir. « Pourquoi il est mort ? » Je leva la tête pour regarder ma mère, petite brune que j'étais à cette époque devait avoir se visage qui rend les autres pétrifiés. « Il souffrait peut être. Je ne sais pas pourquoi. » Toujours à essayer de me rassuré, et je vous assure que j'avais une tête de mûle à six ans. C'était pas le paradis de m'apprendre quelque chose qu'elle soit. Pourtant elle savait comment je me sentais et ma mère à toujours été le plus beau symbole de féminité et d'idolâtre que je pouvais avoir. « Je veux pas le mettre à la toilette.. » Je pleurais en regardant ma mère qui fis un effet de surprise. Elle s'approcha doucement de moi avec ce visage désolé qu'elle savait porter au bon moment. « Mais qui t'as dis qu'on allait le mettre dans la toilette ma chérie ? » Je soupira, comme si ce n'était pas évident ! C'était mes amies de l'école qui disait que j'allais devoir le mettre à la toilette. « Mes amies à l'école.. » Je baissa doucement la tête pendant que ma mère me colla doucement contre elle. C'était un geste très réconfortant que je ne refusa pas. « On ira l'enterrer, ça te va ? » C'est stupide comme histoire mais je trouve qu'elle représente réellement la complicité entre moi et ma mère, entre ce qu'elle était. Une véritable mère, douce et présente à la fois. Je ne manqua jamais de rien avec ma mère et chaque chagrin c'est elle qui s'en occupait. Je ne serais pas aussi fière de moi aujourd'hui si les gens ne me disait pas '' ta mère serait fière de toi '' ou bien encore '' ce que tu ressembles à Nickey ''. Pour ce qui est de mon père il était toujours en train de me faire rire. Mon divertissement à tout coup. Je voulais quelque chose il me le donnait. Je me souviens à un moment qu'une de mes dents allait tomber, mais elle était juste à côté des deux principales du hauts et je ne voulais pas la retirer. Mon père m'avait vraiment remonter le moral. « Mais je veux pas être laide ! » Mon père commença littéralement à rire et me regarda laissant ma mère stupéfaite. La mission rire allait débuter. « Alison, tu pourrais venir ici. » Je le regarda en me dirigeant vers lui sautillant comme à mon habitude. Il me souria prit un bout de papier et un ciseau pour ensuite me regarder la petite bouille. « Pourquoi tu as du papier ? » Oui, j'étais très curieuse à cet âge. J'avais alors sept ans, donc deux ans de plus que l'anecdote du poisson rouge. « On va retirer cette dent qui va tomber et pendant qu'elle va repousser on va en mettre une en papier. » Je regarda ma mère en me questionnant et elle souriait. Je me retourna vers mon père. « Mais ça va se mouiller. » Je me questionnais beaucoup en ce moment à ce que mon père disait. C'était logiquement impossible. « Alors tu veux que je te passe une des miennes ? Attend. » Il alla tirer sur une de ces dents ce qui déclencha mon rire. « Berrrkk. Je préfère encore être laide. » Bien sûr que je l'ai retirer cette fichu dent. C'était cela ou bien j'avais pas droit au chocolat jusqu'à ce qu'elle tombe. Logiquement, mes parents savaient qu'elle allait finir par tomber, mais cela pouvait être vraiment dangereux. Si je dormais et l'avalait j'aurais très bien pu m'étouffer. C'est à peut prêt à cela que ressembla ma tendre enfance.

Vers cette période je devenais une jeune adolescente. C'est là que je fais la métaphore première de mon histoire. La vie, est un tout comme un rien. Ce que les gens ont dans les mains peut disparaître dans une fraction de seconde et la plupart ne prenne même pas plaisir à savourer ce qu'il possède. Tout relate de la vie. Une présence humaine sert à donner vie à une autre. C'est un cycle éternel, pas comme l'identité de humain, race purement non-éternel, non magique. C'est pendant ce temps que je compris bien vite les vrais valeurs de la vie, ce que c'était vraiment que tout ce charabia. Plus jeune, un garçon voulait dire un ami tout simplement. C'était seulement qu'il était un garçon, rien de plus rien de moins. En vieillissant c'est là qu'on apprend qu'au fond les garçons servent à quelque chose. Ils ne sont pas inutile hélas ! Quelques fois on voudrait bien les éliminer de la terre pour le mal qu'ils peuvent nous faire. Moi, je n'ai jamais réellement vécu cela. Enfin pas à ce moment. J'avais un ami que j'ai connu quand j'étais très jeune, Aaron Wright. Petite avec lui c'était Alison et Aaron contre le monde. On s'amusait souvent chez moi avec de petites voitures ou encore à jouer au basket. Mais la plupart du temps on était en train de se conter quelques blagues qui tous deux nous faisaient vachement marrer. J'étais déjà une vrai petite rigolote comme mon père et je m'amusais avec cela. Je lui concoctais toute sorte de plan afin de faire rire ces parents qui étaient longs à la détente. Je me souviens d'une fois. « J'ai rien compris ! » Je le regardais en souriant et riant moi même de la future blague. « Écoute je t'ai dis. Je l'ai déjà fais à mon papa. » La fameuse blague mortel que je lui avais fais. « Bon d'accord.. je t'écoute. » Je lui raconta donc tout mon plan et la réaction de mon père et il se mit à marrer comme à tous les coups. Puis il le faisait à ces parents et me revenait avec le résultat. « Alors alors, dis moi tout et rate pas un truc hein ! Allez Aaron. J'ai hâte moi ! » J'étais une enfant assez dynamique et il me fit signe de me détendre, il allait tout me dire, je le savais. Mais chaque fois je ne pouvais me contenir c'était beaucoup plus fort que moi. Cet ami, je l'ai encore aujourd'hui. Des amis d'enfance, et maintenant des meilleurs amis certainement pour la vie. Il n'était pas le pire garçon de l'école j'en étais presque heureuse. Je vous parle de ce moment car Aaron fut un des plus important dans ma vie lors de mes dix-sept ans. On était en terminal à vrai dire et tous deux on avait presque tout choisis ce qu'on voulait faire. C'était en janvier, un janvier que je vais toujours me rappeler. Il annonçait pas réellement beau dehors et pourtant, le soleil régnait. Ma mère était partit travailler cette journée là et elle était très excité. Avant de partir j'avais serrer cette peluche, celle que deux ans plus tôt lors de mon quinzième anniversaire elle m'avait offert. Je la regarda et lui fit un câlin comme à mon habitude. Puis elle partit et moi je fila vers l'école. Je ne sais pas pourquoi mais la journée ne fut pas la meilleure. Bien sûr mon ami me réconforta. C'était aujourd'hui que ma mère testait ce sur quoi elle avait travailler depuis des années. Je crois qu'au fond je ressentais la peur qu'elle ne réussissent pas. Quand je rentra à la maison je regarda mon père en faisant un air énervé. « Alors ! Elle a réussi maman ? » Mon père haussa les épaules en tapant du pieds impatient qu'elle rentre. Je tourna donc en rond attendant impatiemment. On vint alors cogner à la porte et je sursauta heureuse, ne réalisant pas que ma mère ne cognait jamais habituellement. Je répondis et vis un homme, un policier prêt de la porte. « Monsieur Woodstock ? » Je regarda mon père inquiète et pris un moment de colère. « T'as un papier et un GPS avec toi idiot ! Où est ma mère ? » Mon père me saisi alors par les épaules pour me calmer. « Calme toi Alison. » L'agent de police souffla un moment avant de reprendre. « Il vaudrait mieux me suivre au poste de police. » Je pris panique pendant un moment. « Mais arrêter de rigoler merde ! Je veux savoir où est ma mère, et pas demain mais maintenant. » Je ne sais pas si il faisait par exprès mais il regarda mon père qui soupira. « Répondez-lui. » Après avoir dit cela mon père se recula pour souffler. Je me concentra sur l'officier en arquant un sourcil. « Alors ? » Il me regarda avec un visage dévasté et désolé. « Suite à un expérience à fin scientifique, votre mère a eu de grave blessure auxquelles elle vient tout juste de succomber. » Je le regarda en ouvrant la bouche ne comprenant plus rien. Ma mère.. Cette si douce mère que j'avais vu ce matin venait de mourir. Celle qui était mon idole, je voulais aller en science à l'université pour elle, je voulais tout faire en fonction de ma mère, la rendre fière. Tout cela s'écroula en l'espace d'une simple journée qui devait être mémorable. Je regarda mon père en pleurant à chaude larmes. « Papa.. C'est pas vrai.. Dis moi que c'est pas vrai ! » Il ne sut quoi dire lui même pleurait ne croyant pas à cela « Je suis navré pour votre mère..» Je le regarda dégoutée. « Partez ! Laissez-nous tranquille ! Allez-vous en ! » J'avais réellement crier tout cela prise dans une colère noire. Mon père me regarda et s'approcha de moi. C'était là la fin d'un rêve pour nous deux. La famille était détruite. Mon ami, Aaron était heureusement là pour moi et me sortit de l'ombre dans laquelle j'étais malheureusement tomber. Je soupirais tranquillement m'en voulant réellement. Ma mère était morte, c'était la fin de ma vie. Comment survivre. J'allais devoir apprendre.

Une toute nouvelle vie s'offrait à moi. Déjà en commençant j'avais un super ami. Je changea vite de projet et voulu devenir une criminologiste reconnu. Je mélangeais donc le métier de ma mère et de mon père par la même occasion. C'est pas très longtemps qu'après tout changea dans ma vie. Comme un mec je noya ma peine de la perte de ma mère dans l'alcool, quelle cruche je sais ! Mais bon j'étais vraiment peiné et découragé par tout ce qui advenait. C'est là que j'ai commencer à aller dans des fêtes, et c'est là qu'est arrivé un léger incident. Je veux juste dire quelques choses avant de raconter cela. Aaron m'aidait réellement et pour moi il n'est que mon simple ami, enfin.. bref. C'était une soirée, et je m'étais amplement bourrée pour ne plus savoir ce que je faisais. Comme si c'était un geste que je fis normalement, je m'approcha de mon meilleur ami pour l'embrasser. J'avais débuter ce petit jeu dangereux qui a fini par aller au lit. Bien sûr je ne me rappelait pas très bien des détails, mais le lendemain matin, à mon réveil mon si bon ami Aaron me raconta tout ce que j'avais fais, et j'avoue que je me trouvais conne. « Je te jure, tu t'es tiré sur moi pour m'embrasser ! » Je ne savais pas si il plaisantait mais je l'ai bien rie en lui poussant un peu l'épaule. « Oh mais oui c'est sûr. » J'espérais qu'il ne pense pas que lui et moi on irait plus loin, car il restait que mon meilleur ami et point final. D'ailleurs, il était devenu tellement important qu'il y a exactement quatre mois j'ai décidé d'aller avec lui en Floride. Il était là depuis un petit moment et sans lui, sans mon protecteur, mon meilleur ami, je me sentais pas à ma place et complètement perdu. La mort de ma mère me revenait en tête et je voulais boire encore et encore. C'est pour cela que j'ai autant besoin de lui, j'espère qu'il le sait ! Sinon et bien je lui prouverai.